Source Le Soir |
"La procédure a été tout à fait régulière, il n’y a aucun vice de procédure. Bien que je ne sois pas d’accord avec la décision (de remise en liberté), j’ai donc décidé de ne pas introduire de pourvoi en cassation." déclarait mardi le procureur général de Mons Claude Michaux. Après avoir obtenu gain de cause auprès du Tribunal d'application des peines et du parquet général de Mons qui ne s'est donc pas opposé par voie légale à sa libération conditionnelle, le chemin de Michelle Martin n'est pas encore terminé. Avant même d'avoir reçu le dossier, qui ne sera officiellement prêt que le 24 mai, le ministre de la Justice français, Michel Mercier, a déclaré ne pas vouloir accueillir Michelle Martin en France. Stefaan De Clerck a insisté ce matin au micro de Bel RTL, "J’ai pris contact avec lui pour lui soumettre le dossier ; il a pris position sans avoir reçu le dossier, donc je lui ai demandé de l’étudier". Si le refus se précise, le dossier devra revenir aux mains de TAP afin de redéfinir les conditions de libérations de Martin. |
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